%% DO NOT EDIT this file manually; it is automatically %% generated from LSR http://lsr.dsi.unimi.it %% Make any changes in LSR itself, or in Documentation/snippets/new/ , %% and then run scripts/auxiliar/makelsr.py %% %% This file is in the public domain. \version "2.17.11" \header { lsrtags = "text" texidoc = " Text that can spread over pages is entered with the @code{\\markuplist} command. " doctitle = "Markup lines" } % begin verbatim #(set-default-paper-size "a6") #(define-markup-list-command (paragraph layout props args) (markup-list?) (interpret-markup-list layout props (make-justified-lines-markup-list (cons (make-hspace-markup 2) args)))) % Candide, Voltaire \markuplist { \override-lines #'(baseline-skip . 2.5) { \paragraph { Il y avait en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les mœurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme. Il avait le jugement assez droit, avec l'esprit le plus simple ; c'est, je crois, pour cette raison qu'on le nommait Candide. Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. } \paragraph { Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs; le vicaire du village était son grand-aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. } } }